Voici le constat qui m’obnubilait avant ce weekend
- L’herbe pousse dans mes vignes et gagne sur les ceps
- J’ai 8 pioches mais que 2 bras
- Ma cave recèle de bonnes bouteilles à partager
- Je suis œnologue
C’est alors qu’une idée lumineuse m’est apparue : les Jurassiens…
Mais oui, eux qui sont avides d’apprendre enfin à déguster du vrai vin, eux qui ne craignent pas le dur labeur, eux qui ont tous des ancêtres bucherons, eux seront parfaits!
Alors le deal est posé. Je vous apprends à développer votre nez et mettre des mots sur ce que ressent votre palais et en échange vous m’aider à piocher les mauvaises herbes.
Voici le bilan des réjouissances en ce dimanche soir :
- Je n’ai pas été déçu par la force naturelle jurassienne
- La vigne est repartie de plus belle
- On a bu de sacrés bons canons
- Il y a du progrès sur la dégustation
Alors rendez-vous l’année prochaine!
Rédigé par Nicolas Caillaux