L’homme à tête de vin descend au plus profond de sa cave,
À la rencontre de la fraîcheur dans l’antre de la terre.
Au dehors, la canicule fait rage,
Des vents chauds grillent les feuilles de ses vignes,
Les rayons de l’astre pénètrent au cœur de ses raisins,
Sa nature courbe l’échine et résiste à l’incendie.
Sans dire un mot, l’homme à tête de vin frôle des doigts les culs de bouteilles,
Il s’abîme les yeux à essayer de les compter, mais indomptables, elles lui font tourner la tête,
Dans un accès de délire, il grimpe sur son mur de bouteilles, ça tient.
Le lieu parfait pour méditer sur les vendanges à venir.
Rédigé par Nicolas Caillaux

et beh tonton yen a beaucoup du vin. Tidiane
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